Possessed by the power (1971)
-
5%
Sexe
Quasiment pas de scène de sexe dans ce film
-
24%
Action
Quelques rebondissements, notemment les scènes au Vietnam
-
87%
Horreur
Transformations en tout genre.
L'histoire
1971, la guerre froide s'accélère et la boucherie du Vietnam s'enlise. C'est à ce moment précis que Gerry Johnson nous raconte l'histoire d'une jeune fille possédée par un sénateur républicain retrouvé mort devant le capitole, vidé de son sang. Pour la première fois à l'écran, la jeune Linda Blair joue le rôle de la fillette possédée, rôle qu'elle reprendra 2 ans plus tarde dans le chef d'oeuvre de William Friedkin " L'exorciste ". A noter aussi un fait rare au cinéma et qui vaudra à Gerry Johnson de longs et coûteux problèmes avec l'administration américaine, la présence devant la caméra de l'acteur canadien Joe Woodward, sosie parfait du président Nixon, qui joue le rôle du sénateur spectral.
Le casting
Inspecteur Licavoli | Tony Lo Bianco |
Le sénateur Grant | Joe Woodward |
Susan Clyde | Margot Kidder |
Le président des USA | Robert Vaughn |
Jenny la nurse | Sarah Cellar |
Le Père Kramer | Martin Boyd |
Emily Clyde | Linda Blair |
L'équipe technique
Réalisation | Gerry Johnson |
Producteurs exécutifs | Gerry Johnson Herb Tenderswift Sonny Lieberman Clyde Deveraux |
Producteurs | Carol Fielding Larry Boyd |
Production | Hysterik ART Films Ltd. |
Scénario | Samantha Treviss |
Directeur de la photographie | Albert Pike |
Montage | Simon Fluegl (ASC) |
Décorateur | Glen Smith |
Effets spéciaux | Karl Bitcher |
Musique | John Ellman |
Costumier | Andy Finnegan |
Casting | Eddie Romero |
Informations techniques
Durée | 86 minutes |
Son | Mono |
Image | Noir et blanc |
Production | Hysterik ART Films Ltd. |
Ratio | 1.85 : 1 |
Caméra | Arriflex 16mm / Procédé sphérique |
Laboratoire | Movielab, New York |
Format | 16mm / 35mm (gros plans) |
Budget | 76 000 $ |
Recette | NC |
Les critiques
-
Roger Mouque, Minuit Magazine.
Le film de Johnson apparait pour ce qu'il est : de l'esbrouffe. On se demande ce que vient faire Robert Vaughn dans cette panade.
-
Jean-Jacques Butters, Craziest Movies.
Ce film ne fait qu'exploiter d'une manière grandiloquente quelques vieilles recettes du cinéma de terreur des années 60. Et quel noir et blanc pourri.