The crazies are back in town (1973)
-
05%
Sexe
En même temps les fous ils ne font pas trop dans le sexe.
-
30%
Action
Cascades en tous genre dans les rue de San Fransisco, mais à l'asile aussi.
-
50%
Horreur
Ca fait peur les HP !
L'histoire
En 1969 deux malades mentaux John Dershaw Jr et Kevin Ramirez s'échappe de l'hôpital pyschiatrique de San Francisco pour rejoindre Rintintin à Hollywood... Ils reviendront 4 ans plus tard avec les restes du berger allemand dans un sac plastique jaune... L'équipe de tournage quitte New York pour la deuxième fois pour rejoindre la Cote Ouest et le tournage de ce film. Le producteur Sammy Lentieri venait d'hériter l'année auparavant d'un hôpital à l'abandon... Ni une ni deux Nick Barbieri peaufinat donc un scénario original dont lui seul à le secret. A mis chemin entre "Vol au dessus d'un nid de coucou" et "Les tueurs de la lune de miel The crazies are back in time surprend par le jeu habité de Lionel Stander et Alex Rocco, inséparable jusqu'à la fin du métrage.
Le casting
John Dershaw Jr | Lionel Stander |
Kevin Ramirez | Alex Rocco |
Donald Meeks (l'infirmier en chef de l'hôpital) | Karl Rohmer Sr |
Le chauffeur de bus | Paul Jackson |
Mme Carlyle | Helen Wolfe |
Sal Miniano | Terry Chiodo |
Rintintin | Balto le chien |
L'équipe technique
Réalisation | Gerry Johnson |
Producteurs exécutifs | Gerry Johnson |
Producteurs | Sammy Lentieri Larry Boyd |
Production | Hysterik ART Films Ltd. |
Scénario | Nicolas Barbieri |
Directeur de la photographie | Gary linkwater |
Montage | Simon Fluegl (ASC) |
Décorateur | Glen Smith |
Effets spéciaux | Karl Bitcher |
Musique | John Ellman |
Costumière | Sally Cunningham |
Casting | Eddie Romero |
Informations techniques
Durée | 102 minutes |
Son | Mono |
Image | Couleur |
Production | Hysterik ART Films Ltd. |
Ratio | 1.37 : 1 |
Caméra | Arriflex 16 S |
Laboratoire | DuArt Film Laboratories, New York |
Format | 16mm (Eastman Ektakrome 25T 7252) |
Budget | 55 000 $ |
Recette | 85 000 $ |
Les critiques
-
Albert Fournier, La Revue de l'Horreur.
Johnson revisite l'asile psychiatrique comme John Steinbeck dépaignait l'amérique du 19ème siècle avec son "Des souris et des hommes".
-
Henriette Aqbwé, Africa Horror.
Je veux être enfermé dans l'asile de Gerry Johnson, là sont les vrais humains de ce film !