The return of mr Kingele (1978)

  • 60%
    Sexe
    Encore plus d'esclaves sexuelles.
  • 70%
    Action
    Encore plus d'action entre le Bronx et Harlem.
  • 25%
    Horreur
    Par contre on a perdu l'horreur !

L'histoire

Julius Harris malade ayant refusé le rôle c'est Badja Djola qui passe du rôle de Kenny Rogers à celui de Kingele... Le film prendra du coup une autre tournure au niveau de l'acting. Le pitch est simplissime, Kingele revient une fois de plus d'entre les morts pour réduire en esclavage tout ce qu'il hypnotise et touche. C'est le jeune Paul Batwandé qui campe ici un jeune fan de spiritisme et gardien du cimétière de Sugarhill qui réveillera le maître des rites Zandor . Après l'énorme succés du premier opus, le budget de cette suite a été plus que confortable mais un scénraio trop calqué sur le premier épisode essoufflera le métrage et ne lui permettra pas de rester plus de 2 semaines à l'affiche. A noter la présence de Kevin Combs le cousin de Sean "P Diddy" Combs" dans le rôle de Little Jimmy.

Le casting
Johnston Owu Kingele Badja Djola
Kenny Rogers Abweli Cotingwa
Le Capitaine Fitzpatrick Strother Martin
Josanbra kinshasa Paul Batwandé
Scooter Kevin Alcombe
Jose Garcia Fred Zito
Little Jimmy Kevin Combs
L'équipe technique

Réalisation Gerry Johnson
Producteurs exécutifs Gerry Johnson
Sonny Lieberman
Producteur Larry Cohen
Production Hysterik ART Films Ltd.
Scénario John T.
Ossie Jackson
Directeur de la photographie Dante Spinotti
Montage Simon Fluegl (ASC)
Décorateur Carlyle Simmons
Effets spéciaux Karl Bitcher
Musique John Ellman
Costumier Eric "Long Daddy" Phillips
Casting Eddie Romero

Informations techniques

Durée 95 minutes
Son Stéréo
Image Couleur
Production Hysterik ART Films Ltd.
Ratio 1.85 : 1
Caméra Arriflex 35
Laboratoire Technicolor, New York
Format 35mm (Eastman Ektakrome 25T 7252)
Budget 300 000 $
Recette 135 000 $

Les critiques

  • Mamadou Abdou, La tribune de l'occulte.

    La même équipe, les mêmes acteurs, un budget confortable... mais au final un énorme flop. Dommage !

  • Henriette Aqbwé, Africa Horror.

    C'est parce que je suis black, que vous me demandez ce que je pense de ce film, c'est ça ?